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Ha!
''Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.''
Albert Einstein
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Ah....
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solochat... délectable... Bonne en Ta! ,,, Et piqué!
Dernière modification par JR (2021-11-09 09:38:44)
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »
Anaxagore de Clazomène...repris par Antoine Lavoisier
Tout ce que vous pouvez imaginer, la nature l'a déjà créé. Einstein
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Chat patient!
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« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »
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Sachant à qui je plais, connais ce que je vaux.
Devise des chats
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Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il le croit (La Rochefoucauld)
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Brave chat!
''Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.''
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''Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.''
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« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme »
Anaxagore de Clazomène...repris par Antoine Lavoisier
Tout ce que vous pouvez imaginer, la nature l'a déjà créé. Einstein
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Solochat, votre clip du message 11149, je le connaissais sous cette forme :
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Long mais amusant et instructif!
LE BAIN ET CERTAINES PRATIQUES D’AUTREFOIS.
La prochaine fois que vous vous laverez les mains, et que vous trouverez la température de l'eau pas vraiment agréable, ayez une pensée émue pour nos ancêtres.
Voici quelques faits des années 1500 :
La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils prenaient leur bain annuel en mai, et se trouvaient donc encore dans un état de fraîcheur raisonnable en juin.
Mais évidemment, à cette époque, on commençait déjà à puer légèrement, et c'est pourquoi la mariée tentait de masquer un tant soit peu son odeur corporelle en portant un bouquet. C'est à cette époque qu'est née la coutume du bouquet de la mariée.
Pour se baigner, on utilisait une grande cuve remplie d'eau très chaude.
Le Maître de maison jouissait du privilège d'étrenner l'eau propre ; suivaient les fils et les autres hommes faisant partie de la domesticité, puis les femmes, et enfin les enfants.
Les bébés fermaient la marche.
À ce stade, l'eau était devenue si sale qu'il aurait été aisé d'y perdre quelqu'un... D'où l'expression «Jeter le bébé avec l'eau du bain» !
En ces temps-là, les maisons avaient des toits en paille, sans charpente de bois.
C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se tenir au chaud.
C'est donc là que vivaient les chats et les petits animaux (souris et autres bestioles nuisibles), dans le toit.
Lorsqu'il pleuvait, celui-ci devenait glissant, et il arrivait que les animaux glissent hors de la paille et tombent du toit. D'où l'expression anglaise « It's raining cats and dogs »
("Il pleut des chats et des chiens").
Pour la même raison, aucun obstacle n'empêchait les objets ou les bestioles de tomber dans la maison. C'était un vrai problème dans les chambres à coucher, où les bestioles et déjections de toute sorte s'entendaient à gâter la literie.
C'est pourquoi on finit par munir les lits de grands piliers afin de tendre par-dessus une toile qui offrait un semblant de protection. Ainsi est né l'usage du ciel de lit.
À cette époque, on cuisinait dans un grand chaudron perpétuellement suspendu au-dessus du feu. Chaque jour, on allumait celui-ci, et l'on ajoutait des ingrédients au contenu du chaudron.
On mangeait le plus souvent des légumes, et peu de viande.
On mangeait ce pot-au-feu le soir et laissait les restes dans le chaudron. Celui-ci se passait pendant la nuit, et le cycle recommençait le lendemain.
De la sorte, certains ingrédients restaient un bon bout de temps dans le chaudron...
Les plus fortunés pouvaient s'offrir des assiettes en étain. Mais les aliments à haut taux d'acidité avaient pour effet de faire migrer des particules de plomb dans la nourriture, ce qui menait souvent à un empoisonnement par le plomb (saturnisme) et il n'était pas rare qu'on en meure.
C'était surtout fréquent avec les tomates, ce qui explique que celles-ci aient été considérées pendant près de 400 ans comme toxiques.
De son côté, le pain était divisé selon le statut social.
Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie, et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.
Pour boire la bière ou le whisky, on utilisait des gobelets en plomb.
Cette combinaison mettait fréquemment les buveurs dans le coma pour plusieurs jours !
Et quand un ivrogne était trouvé dans la rue, il n'était pas rare qu'on entreprenne de lui faire sa toilette funèbre. Il restait ainsi plusieurs jours sur la table de la cuisine, où la famille s'assemblait pour boire un coup en attendant que l'olibrius revienne à la conscience. D'où l'habitude de la veillée mortuaire.
La Grande-Bretagne est en fait petite, et à cette époque, la population ne trouvait plus de places pour enterrer ses morts. Du coup, on déterra des cercueils, et on les vida de leurs ossements, qui furent stockés dans des bâtiments ad hoc, afin de pouvoir réutiliser les tombes.
Mais lorsqu'on entreprit de rouvrir ces cercueils, on s'aperçut que 4 % d'entre eux portaient des traces de griffures dans le fond, ce qui signifiait qu'on avait enterré là quelqu'un de vivant.
Dès lors, on prit l'habitude d'enrouler une cordelette au poignet du défunt, reliée à une clochette à la surface du cimetière. Et l'on posta quelqu'un toute la nuit dans les cimetières avec mission de prêter l'oreille.
C'est ainsi que naquit là l'expression «sauvé par la clochette».
Qui a donc dit, que l'histoire était ennuyeuse ?.....
Capsule préparée par Pierre Bois, VP Société d’histoire Les Rivières
Source: texte de Anne-Marie Amy Picot
NOTE : En plus de ce merveilleux site FB Et si la ville de Québec nous était contée…, vous pouvez également suivre toutes nos nombreuses capsules historiques et même vous abonnez au site FB de la Société d’histoire Les Rivières. Outre les capsules, vous y trouverez des photos d’époque et des articles relatifs à l’histoire peu connue des quartiers Lebourgneuf, Neufchâtel-Est, Duberger, Les Saules et Vanier qui forment l’Arrondissement Les Rivières.
1 commentaire
Sachant à qui je plais, connais ce que je vaux.
Devise des chats
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Merci Solochat très interessant.
Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il le croit (La Rochefoucauld)
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Plaisant à lire et très instructif.
Merci!!!
''Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue.''
Albert Einstein
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Logique pétaradante, Solochat. Pour un peu on y croirait.
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Merci Solochat.
Bonjour.
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WOW!
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Anaxagore de Clazomène...repris par Antoine Lavoisier
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