Jack l'éventreur ou Mahomet l'éventreur ?

JR · 2016-10-20 12:34:49

Quelqu'un a soumis à un psy, les actes de Mohamed, prophète de l'islam. Il lui a demandé son profil, et le diagnostic est tombé :

"Psychopathie au plus haut degré. Cet homme se complaît dans les actes sanguinaires, et soit il les commet directement, soit par procuration en les ordonnant, et en les faisant commettre. Cela lui permet de jouir du spectacle. En matière de jouissance, il est probable qu'il ait eu un gros problème et ne pouvait avoir d'éjaculation, donc ne pouvait pas procréer. Ne pouvant jouir par éjaculation, il ne peut jouir que de la souffrance d'autrui, et il multiplie les occasions de le faire. Il jouit du sang qui gicle, et c'est ce qui lui tient lieu d'éjaculation. Beaucoup de serial killers ont un problème d'éjaculation et de malformation du pénis, souvent ridiculement petit à l'âge adulte; en l’occurrence, étant né juif, il se peut qu'une circoncision ratée ait commis des dommages irréparables. Ceci explique que sa doctrine est sans cesse soucieuse d'éjaculation, qu'il s'agisse de sang ou de sperme, et maltraite ce qu'il ne pouvait pas avoir par ses capacités physiques, mais seulement par tyrannie : les femmes. Mieux, sa doctrine raisonne par l'unique jouissance masculine, et rien ne se définit plus que par cet axe. C'est un serial killer, un tueur en série, mais qui élargit le champ de ses victimes non pas à un seul profil, mais à tous ceux qui ne veulent pas se prosterner devant lui. C'est un pervers qui n'assume pas plus sa propre perversité que son problème d'éjaculation physique, donc qui la déguise en instructions divines, par besoin de s'auto-justifier. Pour cette raison, il s'est auto institué prophète et a fédéré autour de lui une bande de criminels à son service. Il est hyper narcissique, le monde doit tourner autour de lui. Le fait de n'avoir pas connu son père, et sans doute d'avoir été maltraité dans l'enfance, physiquement et psychiquement, sans doute d'avoir été violé petit enfant, lui donne à la fois cette violence qui était rentrée en lui, et cette tyrannie absolue. Il est soumis à des pulsions délirantes, n'a aucune compassion, aucun sentiment, juste des pulsions bestiales d'où résultent des actes pulsionnels violents. Un tel profil serait de nos jours interné d'office et à vie, en service hautement sécurisé, tenu à l'écart des autres patients."